DIMIAO, BOHOL !

Comme vous le savez certainement l’île de Bohol, une île qui se situe dans les Visayas, a été durement frappée par un violent tremblement de terre le 15 octobre dernier.

L’on dénombre plus de deux cents victimes et une dizaine de personnes sont toujours portées disparues plus de deux semaines après la catastrophe.

Les pertes ne sont pas uniquement humaines. Plusieurs églises qui avaient traversé les siècles sans subir les outrages du temps n’ont pas résistées et ce sont plus ou moins écroulées sous la violence des chocs.

Cette région fortement touristique risque de perdre une partie de l’attraction qu’elle avait auprès des visiteurs qui venaient du monde entier. Ils venaient voir les Tarsiers, un des plus petits primates au monde ainsi que les ‘’Chocolat Hills’’, ces collines arrondies qui se parent d’une couleur chocolat lors de la saison sèche.

Mais Bohol c’est aussi la rivière Loboc, l’île de Panglao et ses longues plages, c’est également un endroit extraordinaire pour la plongée sous-marine. Si le requin baleine n’y fait que des apparitions saisonnières, différentes espèces de dauphins se partagent en permanence les eaux claires et cristallines qui baignent cette partie de l’archipel.  

Mais il y a une attraction, une curiosité dont vous n’avez certainement jamais entendu parler.
Pour cela il faut que je vous emmène tout au sud et au centre de l’île, dans la municipalité de Dimiao.

Dimiao, une municipalité de cinquième classe, une petite ville de quinze mille âmes qui se répartissent dans 35 barangays et qui se situe à 36 kilomètres à l’est de Tagbilaran la capitale provinciale.

If there's one place in Bohol that has the perfect blend of religious significance and reality TV-worthy details, it would be the municipality of Dimiao.

Dimiao is famed for its cemetery, which the National Museum has declared a National Cultural Treasure. The cemetery is known as the Ermita Ruins.

Built in the early 1800s, the ruins include walls of tombs arranged like honeycombs—but they're all empty. The uniquely structured sepulchers are the only ones found in the Philippines.

According to the information on Dimiao website, the overall structure of the Ermita Ruins resembles that of the Paco Cemetery.

Historians have speculated that many of the area's residents died of an unknown epidemic before the cemetery was completed.

They theorize that the epidemic must have hit Dimiao hard, to the point where only a few members of the community were able to take care of the dead. This would explain why archeological teams have dug up some skeletons piled up in a mass grave, a patch of land at the very center of the empty honeycomb-shaped niches.

Then again, there are researchers who say that the absence of bones in the hundreds of small niches may have a very simple explanation. Dimiao history logs reveal that Fr. Manuel Carususan had the cemetery closed in 1844. Perhaps, researchers said, he thought it "unhealthy" that it was so near the church.

This is not to say the "fear factor" of the Ermita Ruins is Dimiao's only tourist draw. Like most Bohol spots, it has the centuries-old San Nicolas Tolentino Parish Church, where, at one point, Fr. Leon Inchausti and Fr. Jose Rada of the Order of the Augustinian Recollects (OAR) were assigned. 

The two priests are knows as one of the Eight Martyrs of Motril, as they were executed for their faith during the Spanish Civil War. Both priests were shot by gunmen in 1936. They were among those beatified by Pope John Paul II in 1999.

Both the Ermita Ruins and the San Nicolas Tolentino Parish Church were affected by the quake that hit the area last month. However, the damage they sustained is not as severe as those suffered by other Bohol historical spots.

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