FRENCH LIVING IN THE PHILIPPINES

Une femme d’affaire, supposée être à la tête d’un vaste réseau spécialisé dans le détournement de fonds publics, vient de se rendre aux autorités.  Et pas auprès de n’importe qui, auprès du chef suprême de l’Etat, auprès du Président Aquino.    Janet Lim Napoles, recherchée depuis plus de deux semaines par les autorités et qui fait l’objet d’un mandat d’arrêt, s’est rendue hier 28 août. C’est après que la Présidence ait offert une récompense de 10 millions de pesos (€165.000) pour tout renseignement qui amènerait à son arrestation, que  Napoles, est sortie de sa cachette. Dans cette affaire de détournements de fonds, qui porterait sur plusieurs milliards de pesos, il est à peu près certain que plusieurs personnalités de premier plan sont impliquées. De ce fait, compte tenu du climat local et de la façon dont certains différents peuvent se terminer sur l’archipel, Napoles a préférée se rendre vivante, plutôt que de rester cachée, morte. Si ...

La surveillance des côtes philippines se renforce. Fondée en 1987 aux Sables d’Olonne, la compagnie OCEA est une des pionnières de la construction de navires en aluminium. Avec quatre sites de production, tous situés sur la façade atlantique, Les Sables d’Olonne, Saint Nazaire, La Rochelle et Fontenay-le-Comte, OCEA construit entre 10 et 15 navires chaque année. Les plus grands, jusqu’à 85 mètres sont des monocoques, mais la société construit également des catamarans. Ses quatre marchés, clairement identifiés sont : des bateaux rapide de patrouille, des navires de passagers, des navires multi-rôles et des Yachts motorisés. Depuis le tout début, OCEA s’est spécialisée dans la fabrication de navires de surveillances et de protection de la EEZ (Exclusive Economic Zone), la zone des 200 NM qui entoure les espaces maritimes des états. Elle offre trois types d’unités de navires de patrouille et de surveillance à longs rayons d’action. Unités plus spécialement de...

Dans un post intitulé ‘’OFW pas que des avantages’’,  j’attirais l’attention sur les problèmes que rencontrent de nombreux couples du fait de la séparation imposée quand l’un des deux va travailler à l’étranger. J’ai autour de moi de nombreux exemples de ce genre, dans lesquels des couples ont été broyés par ce système. Que ce soit l’homme ou la femme qui aille travailler à l’étranger, deux ans ou plus sans être proches l’un de l’autre, mène souvent à des séparations. Que ce soit à Taiwan, à Singapour ou en Arabie Saoudite, de nombreux OFW, hommes et femmes, se retrouvent entre Philippins et parfois ce qui pouvait arriver arrive. D’où une destruction de la cellule familiale. Et si les parents boivent, comme dit le proverbe, ce sont les enfants qui trinquent. Un exemple  que je connais bien, car il s’est passé dans la proche famille de mon épouse. L’époux, vingt-huit ans et qui ne trouvait pas d’emploi au pays, part pour le Qatar comme charpentier. Contra...