LAST ECOLOGICAL FRONTIER MAY DISAPEAR !
Malheureusement dans le cas d’une centrale à charbon, ce
ne sont pas uniquement les fumées rejetées qui polluent.
A l’occasion d’un passage à Mindanao, il m’a été possible
de constater les dégâts occasionnés à l’environnement par ce genre de centrale.
Aux fumées qui polluent l’air il nous faut ajouter les résidus, les cendres qui
sont emportées par les eaux de ruissellement, la pollution des nappes phréatiques
ainsi que la pollution de la mer.
En dehors de ces inconvénients, une autre
forme de pollution qui n’est malheureusement jamais ou presque prise en compte
et traitée.
Nous sommes dans un archipel et la majorité des
transports s’effectuent par la voie maritime.
Ce qui veut dire que le charbon va être transporté par un ‘’vraquier’’ qui va venir s’amarrer à une jetée construite aussi près que possible de la centrale. Et là c’est une catastrophe ; des tonnes de charbon s’échappent des pelles qui déchargent le navire et tombent à la mer.
Ce qui veut dire que le charbon va être transporté par un ‘’vraquier’’ qui va venir s’amarrer à une jetée construite aussi près que possible de la centrale. Et là c’est une catastrophe ; des tonnes de charbon s’échappent des pelles qui déchargent le navire et tombent à la mer.
Les fonds sous-marins ressemblent
alors à la surface lunaire. Plus de vie, les coraux sont morts et plus un
poisson à l’horizon, même pas un petit coquillage qui aurait eu la chance d’échapper
au massacre.
Les eaux sont
empoisonnées !
Maintenant l’on peut se poser la question de savoir
pourquoi encore construire ce genre de centrale ?
Qui sont les propriétaires ou qui rachète les mines de charbon ?
Vous avez un premier indice.
Palawan might
lose its status as a UNESCO Man and Biosphere Reserve if the proposed
construction of a coal-fired power plant pushes through.
The
15-megawatt coal plant by the DMCI Power Corporation was intended to be built
in the municipality of Narra, but faced such strong local opposition that the
developer was not able to get the local LGU endorsement needed to continue,
according to a WWF-Philippines news release.
DMCI now
intends to transfer the construction of the coal-fired power plant to the municipality
of Aborlan.
Meanwhile,
students from the Western Philippines University organized a march on Monday
from Narra to Aborlan, Palawan to protest the proposed coal plant.
Around 1,500
protesters—consisting of representatives from civil society, the academe, and
Aborlan locals—participated in the march, said Dr. Lita Sopsop, Dean of the
College of Arts and Sciences of the university.
“We oppose
the coal plant because of the negative impacts to health and the environment,
particularly to locally declared fish sanctuaries in the area. Hanapbuhay ng
mga tao dun ang fishing. The discharge of waste water from the coal plant will
cause thermal pollution that is hazardous to the marine ecosystem, especially
coral reefs,” Sopsop said.
Opposition:
price, health and environmental risk
The price of
electricity for the proposed power plant is also expected to be higher than the
price of power from indigenous, cleaner renewable energy projects and is being
questioned by local Palawan NGOs, WWF-Philippines release said.
The price of
electricity that the proposed coal plant will sell is pegged at Php 9.38/kwh.
This is expected to rise to Php10.51/kwh with VAT added – a price much higher
than the Php 6.59/kwh electricity rate expected to be produced by a hydropower
project being proposed in the province.
Current
hydropower projects in the region could save an estimated 750 million pesos a
year from fossil fuel cost and mitigate around 26,000 tons of carbon dioxide
emissions, WWF-Philippines said.
Proposed
plant 'a travesty'
“To build a
coal plant in a place all Filipinos have worked so hard to conserve for so many
years, when cheaper, cleaner alternatives are available, especially with the
looming threat of climate change, is just a travesty,” said Jose Ma. Lorenzo
Tan, Vice-chair and CEO of the World Wide Fund for Nature Philippines
(WWF-Philippines).
“Why should
Palawan buy more expensive, dirty power when we have cleaner, cheaper
alternatives available?” said Atty. Gerthie Mayo-Anda, Executive Director of
the Environmental Legal Assistance Center (ELAC) and convener of the Palawan
Alliance for Clean Energy (PACE)
Mayo-Anda
noted that the whole country will pay for the electricity as well due to the
subsidy that NPC-SPUG (National Power Corporation – Small Power Utilities
Group) areas receive from the national government.
Palawan –
last ecological frontier
Palawan was
declared a Man and Biosphere Reserve by the United Nations Educational,
Scientific and Cultural Organization (UNESCO) in 1990, classifying the province
as a “site of excellence where new and optimal practices to manage nature and
human activities are tested and demonstrated.”
Palawan is
also considered the “last ecological frontier” of the Philippines.
It also holds
two UNESCO World Heritage Sites: the Tubbataha Reefs Natural Marine Park and
the Puerto Princesa Underground River.
Narra est un acronyme qui signifie National Reseltment
Rehabilitation Administration. Un programme qui a été mis en place en 1954 et
qui avait pour but d’envoyer des personnes sans terres de Luzon à Palawan. C’est
le 21 juin 1969 que la municipalité de Narra a été officiellement créée en vertu
du Republic act Nº 5642 signé par le
Président Ferdinand Marcos.
Selon le dernier recensement Narra aurait une population
de 65.250 habitants.
La municipalité d’Aborlan qui se trouve au nord de celle
de Narrai se situe à 69 kilomètres au sud de Puerto Princesa, la capitale de
Palawan.
Bien que d’une superficie de plus du double de celle de
Narra, elle ne compte que 32.200 habitants et a la particularité d’avoir deux
façades maritimes ; l’une qui donne sur la mer de Sulu, la seconde sur la
Mer de l’Ouest des Philippines (anciennement mer de Chine du Sud).
Pour vous situer ces deux municipalités, nous dirons qu’elles
se trouvent au centre de cette île toute en longueur qui se nomme Palawan, la
dernière frontière, au centre-ouest de l’archipel.
Ce qui est intéressant de constater, même si l’on peut
supposer que le problème a été soulevé par une ou plusieurs ONG
internationales, c’est qu’une partie de la population philippine suit.
Ce n’est
pas la première fois qu’il m’est permis de constater que les problèmes d’environnement
touchent de plus en plus d’habitants de l’archipel.
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